Le 16 mai 2003, plusieurs attentats suicides sèment la terreur au centre de Casablanca en tuant 42 personnes, y compris les 14 terroristes, qui venaient tous du quartier populaire de Sidi Moumen et avaient été embrigadés par des islamistes radicaux. Que s’est il passé pour que ces jeunes décident-ils de tuer aveuglement en se donnant la « mort » ?
C’est que raconte le film Les Chevaux de Dieu, de Nabil Ayouch (à l’affiche à présent en Belgique, en France et au Maroc), qui suit quatre jeunes banlieusards dès leur enfance jusqu’au jour de leur explosion dans le quartier cosmopolite de la capital économique du Maroc, un endroit que certains d’entre eux voyaient pour la premier fois de leur vie.
Lire la critique du film dans l’hebdomadaire marocain Telquel
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