Bruno Rampelberg, un homme d’affaires habitant Huizingen, dans le Brabant flamand, a refusé d’accorder un entretien à un demandeur d’emploi nigérian. Il a essayé de justifier son geste en expliquant que son chien était raciste et qu’il mordait les gens de couleur. "C’est mon chien qui est raciste. Pas moi !", a-t-il fait savoir au journal De Standaard.
Faut-il rappeler que le racisme est un délit, non une opinion, et que les chiens dangereux sont interdits par le règlement de police ?