Centre de formation pour le développement et la solidarité internationale
Le Congo est un pays moribond, incapable de s’en sortir sans l’aide de la Belgique ?, (n° 188)
...la population congolaise n’a guère envie de faire la fête, par Benoït Van der Meerschen
Le Congo est un pays moribond, incapable de s’en sortir sans l’aide de la Belgique ?, propos d’Emmanuel Nashi recueillis par Antonio de la Fuente
Comment vois-je le Congo dans cinquante ans ?, propos de Pie Tshibanda recueillis par Antonio de la Fuente
Se désengager de ce qui concerne le renforcement de la démocratie n’est pas judicieux, propos de Wamu Oyatambwe recueillis par Antonio de la Fuente
Les violences faites aux femmes font dire à Amnesty qu’au Congo, c’est le 11 septembre tous les jours, par Antonio de la Fuente
Plus de 140 mille habitants de Kinshasa sont sourds-muets, par Magalie Kabale
Marie Tenen s’intéresse de près à l’émergence du cinéma congolais. Propos recueillis par Antonio de la Fuente
Les activités des femmes améliorent la scolarisation des enfants et leur participation politique, propos de Nunu Salufa et Anny Ilunga Mujinga recueillis par Cecilia Díaz Weippert
Au Kivu, la population se mobilise contre le paludisme et la malnutrition, par Cyprien Lusenge
La vie est dure à Bukavu... Il faut forcer pour vivre et si on trouve un travail qui fait respecter sa dignité, on s’y jette, par Yves Polepole
Avant, c’était les adultes qui protégeaient les enfants. A présent, ce sont les enfants qui devraient protéger les adultes..., propos de Murhabazi Namegabe recueillis par Violaine Jadoul
Accusé d’être un sorcier, un gamin de huit ans gisait sans sépulture à la morgue de Kinshasa, par Elisabeth Burdot
Traditionnellement les orphelins sont recueillis dans leur famille élargie mais la misère a changé la donne : on n’accepte plus de nouvelles bouches à nourrir et l’orphelin est déclaré sorcier et rendu responsable de tout malheur qui frappe l’entourage, par Edith Van Hove
La faillite pointe à l’horizon pour ceux qui tentent de continuer à vivre de la pêche, par Mamadou Bineta