On peut tourner une page d’histoire mais il serait vain de vouloir la déchirer, (n° 209)

Présentation

On peut tourner une page d’histoire mais il serait vain de vouloir la déchirer
Préserver pour ne pas oublier

De Tervuren à Moussul, quel est le sens de collecter, de préserver et d’exposer le passé ?, par Olivier de Halleux
Adrénaline en sépia

Effets du Musée de la mémoire de Santiago du Chili, par Diego Milos
La mémoire vivante du Chili

On compte environ trois-cents mémoriaux tout le long du pays, propos de Ricardo Brodsky, directeur du Musée de la mémoire et des droits de l’homme à Santiago, recueillis par Antonio de la Fuente
Une promenade africaine au quartier des Casernes à Bruxelles

Peu de rues parcourues mais que d’histoires à réviser pour que la vérité historique soit partagée, par Brigitte Gaiffe
Palmyre en miroir

Le pouvoir s’assied sur le passé pour écrire l’avenir, par Tito Dupret
Mythe et réalité sur l’île de Gorée au large de Dakar

Son passé lié à l’esclavage et à la traite négrière, plus symbolique qu’historique, en a fait un lieu de mémoire, classé patrimoine mondial de l’Unesco. A présent, les Goréens se mobilisent pour sa sauvegarde, par Seydou Sarr
Un lieu de torture devenu lieu de mémoire à Buenos Aires

Peut-on concilier respect de la mémoire et activités ludiques ?, par Daniel Riera
Mémoires maltraitées

Lieux et espaces de mémoire en Croatie, Liban, Irlande et Espagne réunis à Bruxelles, par Tito Dupret
Les auteurs
Olivier de Halleux est chef de projet pour le plan de cohésion sociale à la commune de Beauvechain, en Belgique. Diego Milos est anthropologue au Chili. Seydou Sarr est journaliste à Bruxelles. Tito (...)
Adrenalina en sepia

Efectos del Museo de la memoria de Santiago de Chile, por Diego Milos