Centre de formation pour le développement et la solidarité internationale
J’avais quarante ans en 2004, (n°165)
Des membres de l’Assemblée générale s’expriment sur le passé, le présent et l’avenir d’ITECO, à l’occasion de ses quarante ans, en 2004, propos recueillis par Antonio de la Fuente
Derrière les mots que nous utilisons aujourd’hui couve la manière dont nous nous définirons demain, par Antonio de la Fuente
Quarante ans, dit-on, c’est l’âge de lamaturité, le temps de faire la part des choses. L’occasion de faire le point avec quelques unes des ONG historiques de la coopération belge. Tout comme sur les quarante ans d’immigration marocaine en Belgique, par Andrés Patuelli
Vingt-cinq ans d’illustrations à ITECO, par Antonio de la Fuente
La pédagogie est un discours systématisé sur l’apprentissage, qui inclut des méthodes et des intentions politiques. Celle d’ITECO a quarante ans et toutes ses ambitions, par Namur Corral
par Pierre Hublet
Hassan Bousseta : De plus en plus de Marocains se voient comme des musulmans, mais ceux qui se détachent de la religion sont nombreux aussi ; d’autres se situent comme des belges... les choix identitaires sont multiples
L’Afrique a été déterminante dans la naissance d’ITECO. Qu’en est-il aujourd’hui ?, par Graciose Nzitonda
ITECO n’a plus produit d’affiches depuis « La coopération et moi », en 1968, mais s’est beaucoup intéressée à ce support et a constitué une mémoire d’images et de représentations, par Annick Honorez
par Benoît Olivier
Une lumière sur le miel et sur les gens qui le récoltent, par Angelo Caserta
« Bombardements massifs sur le Cambodge. Tout ce qui vole fonce sur tout ce qui bouge », ordonnait Henri Kissinger en 1964 par Antonio de la Fuente