
« Amnesty, amnistie en français, ne renvoie pas ici à un quelconque pardon ou à des suppressions de peines éventuellement encourues, le sens du mot se réfère à la mémoire, à l’amnésie, à des hommes dont on perd le souvenir, à des condamnés oubliés, qui subissent des traitements en violation des plus élémentaires dignités de l’homme. L’organisation Amnesty International a été fondée en 1961, à la suite d’un appel de Peter Benenson, avocat britannique, sur les prisonniers oubliés.
L’affiche d’Alain Carrier correspond à la première campagne contre la torture des prisonniers d’opinion qui n’ont pas usé de violences ou préconisé leur usage. »
Le XXème siècle s’affiche de Jean-Marie Lhôte
La première guerre d’Afghanistan de l’histoire contemporaine a opposé, entre décembre 1979 et février 1989, l’armée soviétique aux moudjahidines afghans. Ensuite, et durant dix ans, cette guerre a ravagé l’Afghanistan. Du fait de l’implication des États-Unis et de l’URSS, cette guerre est considérée comme une des dernières crises de la Guerre froide.
C’est le calque exact de la phrase qui terminait ses appels à la résistance à l’État d’occupation allemand depuis Londres où il s’était réfugié pour regrouper les forces de la France libre, en 1940 : « Vive la France libre ! ». L’appel de De Gaulle déclencha une crise politique entre le Canada et la France, en 1967.
A partir de 2004 et pendant plusieurs années, à la demande de Solidarité socialiste, ITECO a développé un travail de renforcement des capacités des acteurs associatifs marocains reliés à travers reliés le Resaq, Réseau de associations de Casablanca.
Le protocole de Kyoto est un traité international visant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et qui vient s’ajouter à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques dont les pays participants se rencontrent une fois par an depuis 1995.
Signé le 11 décembre 1997 lors de la 3e Conférence des Parties à la Convention (COP 3) à Kyoto, au Japon, il est entré en vigueur le 16 février 2005 . Ce protocole vise à réduire, entre 2008 et 2012, de 5,2 % par rapport au niveau de 1990 les émissions de six gaz à effet de serre : dioxyde de carbone, méthane, protoxyde d’azote et trois substituts des chlorofluorocarbones.
Mathias Rust, aviateur allemand, décolle de l’aéroport d’Helsinki, en Finlande, s’écarte de son plan de vol pour pénétrer en URSS à faible altitude et se présente au-dessus de la place Rouge de Moscou devant les yeux ébahis de la population. Après avoir signé quelques autographes, il est arrêté par la police.
Son but ? Promouvoir par son geste la paix dans le monde.
ITECO fête en 1984 son vingtième anniversaire et analyse son parcours depuis sa naissance. ITECO est devenu une organisation pluraliste et s’est dégagé d’une certaine dépendance à l’égard des ONG d’envoi de volontaires. Objectif : plus de justice chez nous comme dans le tiers monde. Stratégie : coopérer à un changement social qui dépasse largement l’aide aux pays en développement en s’alliant avec tous ceux qui refusent les aliénations multiples. Moyens : offrir au public attiré par le tiers monde ou soucieux d’une plus grande justice un lieu d’interrogation sur notre société. Interrogation sur les mécanismes de pouvoir et sur ce qui conditionne nos conduites.
En 2011 aussi, mise en oeuvre d’un outil pédagogique sur l’éthique. Le jeu « Je fais ou je ne fais pas » permet de s’interroger sur le bien- fondé des démarches de chacun en rapport à leur propre éthique. C’est sur tous les terrains, personnels et professionnels, que nous sommes constamment confrontés à la question de comment agir au mieux, à la base de toute interrogation éthique.
En 2012, ITECO aborde l’importance croissante d’internet. La formation « Médias et éducation au développement » vise à permettre de mieux comprendre la logique médiatique et de mieux utiliser des médias audio-visuels comme outils pédagogiques à part entière.
La moyenne mensuelle de visites sur ITECO.be en 2011 est de 32 500 (soit 25% de plus qu’en 2011).
202 abonnés sur Facebook et 31 sur Tweeter.
« Choisir un titre n’est jamais facile. L’unanimité s’est faite sur Peuples et libérations parce que ce titre reflète le mieux les objectifs que nous poursuivons. D’une part, donner la parole aux peuples exploités et ainsi les soutenir – modestement - en répercutant des situations trop souvent ignorées. Et d’autre part, informer sur les luttes et les combats que mènent ceux qui veulent construire une autre société, libérée des dominations. »