« Choisir un titre n’est jamais facile. L’unanimité s’est faite sur Peuples et libérations parce que ce titre reflète le mieux les objectifs que nous poursuivons. D’une part, donner la parole aux peuples exploités et ainsi les soutenir – modestement - en répercutant des situations trop souvent ignorées. Et d’autre part, informer sur les luttes et les combats que mènent ceux qui veulent construire une autre société, libérée des dominations. »
En 2001, le site internet dITECO a été repensé et redessiné. Il sert de dispositif pédagogique interactif complémentaire. Les feed-backs enregistrés à son propos ont été encourageants ; hormis le fait que le public s’élargit par ce média, de nouveaux partenaires découvrent ITECO et formulent des demandes par ce moyen.
Au programme, il y a eu...
Un accueil musical avec Muziek de singe
Un parcours des expositions : Peintures de Michel Elias, illustrations de Boulon
Une table ronde sur ces 50 ans de coopération (stop ou encore ?), avec Oumou Zé, Jacques Bastin, François Polet et Marc Poncelet
Un tirage au sort des cadeaux souvenirs, un moment musical et un buffet à prix démocratique.
Les récits de Pie Tshibanda dans « Je ne suis pas sorcier ».
Et, à minuit, on a dansé avec la musique vitaminée de Naila.
Avec le soutien de la Direction générale du de développement, DGD, et de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
C’est le calque exact de la phrase qui terminait ses appels à la résistance à l’État d’occupation allemand depuis Londres où il s’était réfugié pour regrouper les forces de la France libre, en 1940 : « Vive la France libre ! ». L’appel de De Gaulle déclencha une crise politique entre le Canada et la France, en 1967.
La première guerre d’Afghanistan de l’histoire contemporaine a opposé, entre décembre 1979 et février 1989, l’armée soviétique aux moudjahidines afghans. Ensuite, et durant dix ans, cette guerre a ravagé l’Afghanistan. Du fait de l’implication des États-Unis et de l’URSS, cette guerre est considérée comme une des dernières crises de la Guerre froide.
Il s’agit du détournement d’une affiche publicitaire de Benetton
En 2012, ITECO aborde l’importance croissante d’internet. La formation « Médias et éducation au développement » vise à permettre de mieux comprendre la logique médiatique et de mieux utiliser des médias audio-visuels comme outils pédagogiques à part entière.
La moyenne mensuelle de visites sur ITECO.be en 2011 est de 32 500 (soit 25% de plus qu’en 2011).
202 abonnés sur Facebook et 31 sur Tweeter.
« Cette affiche fait partie d’une série politique produite par Tomi Ungerer en 1967. D’une part, les Etats-Unis renforcent leurs troupes et leur puissance de feu au Vietnam. D’autre part, des émeutes raciales ont lieu dans les ghettos noirs de Newark et Détroit, causant une soixantaine de morts. Cette fureur qui tient de l’absurde inspire à Ungerer cette affiche construite comme une carte à jouer à double tête, où chacun est renvoyé à sa honte. L’année précédente, un groupe destiné à protéger les noirs des exactions de la police s’est constitué en Californie, sous l’emblème des Black Panthers, organisant par le suite des milices armées de protection des ghettos et revendicant enfin le Black Power- aspiration proclamée à la face du monde entier, lors des Jeux Olympiques de 1968, par deux sprinters noirs américains levant sur le podium une main gantée de noir. »
Le XXème siècle s’affiche de Jean-Marie Lhôte
Affiche de Topor pour un campagne d’Amnesty international en faveur des prisonniers de conscience en 1977.
Peintre et dessinateur français d’origine polonaise, Roland Topor est l’un des créateurs du mouvement Panique en 1962, avec Fernando Arrabal et Alexandro Jodorowsky. Il a collaboré au journal Hara-Kiri dont il partage le culte de l’humour noir. En outre, il réalise quelques affiches de film devenues célèbres, comme celle du Tambour, de Schlöndorff, et celle de l’Empire de la passion, de Oshima.
La campagne d’Amnesty en 1977 en faveur des prisonniers de conscience a réuni 15 affiches d’artistes réputés.
Refonte de l’équipe des permanents : départ de Maria José da Veiga Coutinho et de Françoise Wolfers, départ annoncé d’Yves Gobert. [Extrait de l’éditorial].